17 ans plus tard je voit avec grand plaisir le film hypie / altermondialiste / new age sans se prendre au sérieux / feelgood / ... le plus décomplexé qu'il m'ai été donné de voir : La Belle Verte.
C'est pas toujours fin, ou plutôt la critique et l'idéologie ne se voilent pas, mais c'est toujours drôle, plaisant et, à mon humble avis de gaucho descendant de post hypies, loin d'être faux. Vous n'y apprendrez probablement rien de nouveau, et les reflexions que le films portent ont été dites à bien des sauces mais 1/ c'est la première fois que ça me plait autant 2/ c'est toujours pas assez dit.
Sinon dans les morceaux choisits je dirait que Cotillard dans son petit tiers-rôle passe sans soucis, que les "déconexions" sont aussi stupides que drôles, qu'il y a un concert avec le Quatuor (si vous connaissez pas le Quatuor, renseignez-vous, c'est un des groupes les plus comiques que je connaisse), un match de foot chorégraphié et la meilleure enguelade d'automobilistes du cinéma.
Bref n'hésitez pas à mettre votre aigreur et votre cynisme de côté pour passer un bon moment devant ce film, moi ça m'a fait du bien ^^
Entre l'avion et différentes chaînes cinéma, j'ai eu pas mal d'occasions de voir tout ou partie de divers films. Voici donc un tir groupé.
Nightfall (Chow Hin Yeung Roy -2012) : Un excellent thriller psychologique hong-kongais. Un scénario bien mené qui révèle peu à peu une histoire belle et sordide. C'est juste dommage que les deux personnages principaux des flics sont un peu trop génériques (pour le coup Simon Yam est assez transparent), surtout face à Nick Cheung, excellent dans son rôle de stalker dérangé.
The Chef, The Actor, The Scoundrel : La Chine pendant la seconde guerre mondiale. Une épidémie de choléra décime la population. Un bandit complètement branque braque une diligence, et se retrouve, avec les passagers du véhicule, dans un restaurant tenu par un couple de sino-japonais complètement timbrés, et où bosse un acteur pas beaucoup plus sain d'esprit. Les passagers du véhicule : deux militaires japonais. Leur cargaison : des produits bactériologiques. Ca part dans tous les sens, avec beaucoup de branque et de surjouage, pour finalement dévoiler un Xanatos Gambit qui vire très vite au Xanatos Roulette.
Au final, ça ressemble plus à un prétexte absurde pour se laisser aller à du branque surjoué, mais étonamment ça prend pas trop mal. On passe du tragique au wtf d'un plan à l'autre et on passe globalement un bon moment.
Painted Skin : Un général sauve une esclave lors de l'attaque d'un camp barbare et la fait rentrer dans sa cour. Le seul problème, c'est qu'elle est en réalité un démon renard qui se nourrit de coeurs humains. Tombée amoureuse du général, elle veut en devenir la femme, tandis qu'un guerrier bad-ass, une chasseurse de démons et l'actuelle femme du général tentent de prouver qu'elle est un démon. On s'attend à un film de sabre ou de kung-fu dans la Chine médiévale, mais en réalité on est plus dans un genre de comédie romantique avec un peu de combats. Ca se laisse regarder malgré tout.
Holding Love: Un couple divorcé après un très court mariage apprend qu'il a gagné un séjour luxueux. Mais une fois sur place, elle se fait enlever tandis que lui reçoit une demande de rançon. Là encore, on a droit à une belle Xanatos Roulette où les twists s'enchainent. C'est rigolo, mais ça va pas trop loin non plus.
Titre iconnu : L'Empereur de Chine est menacé par plein de gens, dont des organisation criminelles et, pire que tout, des perfides pirates japonais. Mais bon, le garde du corps de l'empereur c'est Jet Li. Du coup Jet Li tabasse du monde. Principalement avec un baton. On appréciera le fait qu'il n'a pas de gamin sidekick et qu'il se content essentiellement de se battre.
TED: Un mec essaye de concilier sa vie d'adulte (et notamment sa vie de couple) et son pote nounours vivant. C'est de la comédie bien grasse, mais ça m'a fait bien rigoler, et c'est moins moralisateur que ce à quoi on peut s'attendre.
La Momie: la tombe de l'Empereur Dragon : C'est bien moins nanardisant que ce à quoi je m'attendais. C'est du pulp qui ne se prend absolument pas au sérieux et c'est techniquement bien foutu, bien chorégraphié, joué comme il faut. Du bonheur.
The Guillotines : Les guillotines sont les assassins de l'Empereur (dynastie Qing). Ils se battent avec une arme à la fois totalement absurde et géniale. Ils sont envoyés pour traquer un activiste politique. Mais l'arrivée des armes à feu risque de rendre les Guillotines obsolètes. Le début fait film d'action, puis on part dans autre chose. On assiste à une sorte de démolition du schéma typique, ce qui est à la fois intéressant et décevant.
C'est un peu comme un film qui ferait un pied de nez au flingue de Chekov en mettant plein de flingues partout mais sans qu'un seul coup de feu ne soit jamais tiré. D'un côté, l'approche est intéressante. D'un autre côté, ça frustre. J'imagine qu'un peu plus de talent de mise en scène aurait permis de rendre le choix qui a été fait plus enthousiasmant.
J'en ai vu qu'un bout, mais ça vaut d'être mentionné :
Ip Man 2 (2010) : J'ai vu la fin, où Ip Man se bat contre un boxeur anglais. Le combat entre le boxeur tout en muscles et le shifu tout en technique est très très bien fait.
Golden Chicken 2 : L'histoire décalée de la vie particulière d'une prostituée hong-kongaise, une histoire qui s'inscrit dans celle de Hong-Kong. C'est assez drôle, et si j'ai bien compris, le premier est encore mieux.
J'ai l'impression d'en avoir oublié un ou deux. Si jamais ça me revient en tête, je posterai.
_____________________________________________ Muscles, sang, sexe, intelligence... et carreaux.
Chris Evans a gagné son statut de badass (non, Captain America n'est pas badass). Tout le casting est génial. Les décors sont superbes. Le scénar est fantastique.
Nom de d'là ! Pas un post depuis 4 mois.... Je ne me reconnais plus, c'est la déchéance. Procédons avec méthode, par ordre décroissant de qualité. Commençons par l'actualité (qui commence à sentir le poisson pas frais quand même).
Gravity : Cuaron est un salaud. C'est moche de faire ça à tous ses collègues réalisateurs passé, présent et à venir. Comment vont ils oser comparer leur film dans l'espace au sien ? C'est moche aussi de faire ça à nos porte monnaies. Comment va t on râler que la 3D ne sert à rien maintenant ? Vraiment, un film pareil, c'est de l'abus. Et voilà que je te fais un quasi-blockbuster avec Clooney, et voilà que ça me suffit pas, que j'y mets tout plein de symbolique puissante sur l'empowerment, que je révèle Sandra Bullock, que j'invente une nouvelle manière virtuose de filmer l'espace, que je reste terriblement anxiogène alors que j'annonce tout 5min à l'avance, que je montre à tout le monde comment on fait de la 3D, que je me permets un huit clos à personnage quasi-unique à 100 millions de dollars, .... Que ce Alfonso Cuaron est plein de suffisance ! Mais putain il la mérite, le con... Un météore dans vos gueules : 5/6
Le Transperceneige : La grosse claque. Un petit bijou qui n'a pas eu le box office qu'il mérite. De la SF comme on aime, âpre, rouillée, violente, avec juste ce qu'il faut de caricature sociale pour élever l'ensemble. Un casting impeccable au service de l'histoire, et le réal de Memories of Murder en très grande forme. Il nous offre là une leçon de mise en scène. Le cadrage, le montage, la lumière (putain, la lumière !), vous n'avez jamais vu une plus belle démonstration de fuite en avant. Je ne sais pas ce qui vient de la bédé et ce qui a été créé pour, mais le film regorge de trouvailles magiques et d'éclats visuels et symboliques. C'est un bonheur à regarder. Une locomotive dans vos gueules : 5/6.
Thor, le Monde des Ténèbres : Thor le Chevalier d'Argent du Tonnerre doit tabasser des Elfes Noirs de l'Espace parce qu'ils veulent tout pêter. Comment va t il les arrêter ? En leur enfonçant le Pouvoir de la Science avec son Gros Marteau™. Personne n'aurait pu prendre ce synopsis au sérieux, et je suis très reconnaissant à Marvel de ne pas l'avoir fait. Thor devient la licence comique des films marvels, et ça marche vraiment bien. Chapeau bas aux scénaristes et aux designers de ce 2ème opus, ils ont réussi à sauver les meubles malgré le passif catastrophique du 1er. Asgard gagne des petits airs de Minas Tirith pas dégueux (mais qui ne suffisent pas à la rendre classe) mais on s'y fait un peu chier pendant 20min. Après ça, ça décolle pour ne jamais atterir. L'action claque bien, l'humour régulier fonctionne, Loki est formidable et on s'amuse beaucoup. Au dessus des 1ers Ironman, encore en dessous de Avengers. Marvel movie : 4/6
Captain Phillips : Bien mieux que ce qu'on entend dire. Bien sûr, c'est juste un film "catastrophe" de confrontations entre un capitaine de cargo et des pirates somaliens, mais dans son genre c'est très réussi. Le rythme et la réal maintiennent la tension tout du long, les situations changent suffisamment pour que le scénar ne s'enlise pas, et les acteurs sont justes, surtout les pirates somaliens. Bien sûr, si la caméra de Greengrass vous donne la gerbe (Jason Bourne), dites vous que cette fois ci il tourne en mer ! Film sous tension : 4/6
La Stratégie Ender : Surprenamment convenable ! Je ne pensais pas le bouquin adaptable, mais Scott Card a participé au scénar et ça se sent. On est très loin de la complexité et de la subtilité de l'oeuvre originale (le frêres et la soeur ont quasiment disparus par ex), mais les thématiques et l'ambiance n'ont pas été sacrifiés. Les jeunes acteurs sont franchement corrects, surtout Ender, et ça se suit avec plaisir, si on accepte que ça ne pouvait être qu'un film mineur. Les scènes de batailles spatiales sont sympas, mais le Jeu est assez râté amha. SF sans prétention : 3/6
Cartel : Du petit Ridley Scott, et du très mauvais McCarthy. C'est beau, c'est très bien joué, le scénar se tient et l'ambiance poisseuse et crue est bien plantée. Mais qu'est ce qu'on se fait chier ! L'intrigue n'avance déjà pas bien vite et manque un peu d'intérêt, mais dès qu'ils ouvrent la bouche, on a droit aux dialogues les plus soporifiques et les plus convolutés (ce mot n'est là que pour vous illustrer l'ambiance) depuis l'Architecte de Matrix. Heureusement, certains s'en sortent bien (Cameron Diaz, Javier Bardem,...). "Traffic" raté : 2/6
Evasion : Sylvestre et ARNOOOLD sont dans un bateau, et je vous ai spoilé le mystère. C'est vaguement rigolo pour les nostalgiques comme moi, mais il faut bien dire que le scénar est moyen, les dialogues transparents et l'action convenue. Ca m'a pas excité plus loin que la demi-molle. Fan service vieillissant : 2/6
Et maintenant, le tir de suppression des vieilleries !
Pacific Rim Je suis pas objectif, j'étais le coeur de cible. Del Toro prend ses figurines d'Evangelion et de Godzilla et fait Crash ! Fiouuu ! Boum ! avec sa bouche. Ensuite, il demande 190 millions pour rajouter tous les clichés du genre en un seul film, et on lui donne avec un sourire, parce que c'est Guillermo. Et après on fait Crash ! Fiouuu ! Boum ! avec lui. Pas-Objectif-Veux-Coucher-Avec-Lui : 6/6 !
The World's End Tout a déjà été dit sur The World's End, alors j'ajouterais juste que c'est mon préféré de la trilogie Cornetto. Et j'emmerde les aigris qui ont tout trouvé nul passé l'intro de Shawn of the Dead. Trilogie Cornetto : 6/6 (ou peut-être 5, parce que je trouve Pierce Brosnan sous-exploité)
The Conjuring En tant que film pour faire peur ? Raté, les artifices sont archiconnus et attendus. En tant que film qui écrase sous la tension tout du long et qui met en scène deux investigateurs de l'Appel de Cthulhu dans une ambiance 60 parfaitement reconstituées avec des acteurs sur le fil du rasoir ? Un must. Film qui fait pas peur mais quand même : 4/6
2 Guns Un buddy movie bien débile et sympatoche, en majeure partie grâce au duo Washignton/Wahlberg. Buddy movie bien débile et sympatoche : 4/6
Elysium Grosse déception malgré de très bonnes bases de départ. De la SF du barrio, qui râpe bien sous la colonne vertébrale, et servie avec un visuel fantastique. Deux premiers tiers solides qui flattent nos papilles d'esthètes de la déliquescence, mais un dernier tiers d'action brouillon qui s'emmêle les pinceaux et une fin qui dégouline de guimauve. Ca a tout l'air d'une récupération des commandes par les producteurs, mais devant le peu de passif du réal, je ne peux pas écarter l'hypothèse qu'il ait perdu pied dans une prod trop hollywoodienne pour lui. Pourtant, de belles trouvailles de réal surnagent. District 9 du futur : 4/6
Insaisissables Avant d'éclater du zombie, Colombus et Tallahassee faisaient des tours de magie que même David Copperfield il comprend rien. Mais Morgan Freeman essaie d'expliquer quand même alors qu'on préfèrerait ne pas savoir. Et à la fin les gentils voleurs gagnent. C'est fun, c'est frais, mangez en, ça fait sourire. Arsène Copperfield : 3/6
RED 2 Plus réussi que le 1er. Plus malin, plus drôle, plus funky. Red : 3/6.
White House Down Du bon Roland Emmerich. Pas du Grand Roland Emmerich comme pour 2012, ce zoolander du film catastrophe. Non, du vraiment correct Roland Emmerich. Un scénar à la Die Hard, un Channing Tatum hautement sympathique, un Jamie Foxx très obamesque, de l'action bien troussée, et un président of the United States en train de tirer à la roquette sur sa pelouse depuis sa limousine blindée poursuivie par des 4x4 à miniguns. On profite du spectacle, on rigole un peu, et on se repose le cerveau en appréciant enfin un Emmerich bien réalisé. Cerise sur le gâteau, quelqu'un a empêché Roland de nous mettre ses poncifs sur l'American Way of Life, ses discours pompeux et ses sacrifices héroïques. Très étonnant autant de retenue de la part de cet homme. Et arrivent la fin, enfin, où Roland se venge de toutes les frustrations du reste du film. Une fin, que dis-je, un apex (!) qui ferait passer Call of Duty pour un poême de Rimbaud. Ca m'a mis la larme à l'oeil ce cri de désespoir, aussi pataud, aussi lourdement symbolique, aussi afffreusement maladroit. Avec cette fin, j'ai retrouvé du Grand Roland Emmerich. Die-Harderie : 3/6, parce que quand même c'est bien fait.
Kickass 2 Moins apprécié que le 1er, malgré une Mother Russia de toute bêâûté ! Un méchant foiré, un scénar bof, un Jim Carrey inutilisé, ... Kickass 1 : 3/6
Lone Ranger Comme Blade et Joker, trop long à démarrer malgré quelques éléments forts sympathiques, mais un final à faire crever de jalousie Jack Sparrow. Cowboys of the Wild West : 3/6
RIPD Dommage, avec "Ghostbusters croise Men In Black", ils avaient un potentiel nanard évident. Mais c'est nul, rien à en tirer. 1/6
Wolverine, le combat de l'immortel Tout pourri, mais plus que RIPD, parce qu'on a même pas Jeff Bridges qui surjoue. 1/6
Pour le coup, il est vraiment sympa à regarder. On s'accroche vraiment au héros, les seconds rôles fonctionnent bien, ça pète dans tous les sens. Dans ce genre de film d'action, aux taux d'explosion inversement proportionnel à la profondeur du scénario, c'est efficace et distrayant. Ca vaut The Rock, par exemple.
Et vraiment, la fin est tellement, tellement drôle.
J'ai oublié d'en parler, mais c'était bien cool. Du polar noir dépaysant, bien cru et personnel comme on aime. Bloom fait oublier ses années de blondasse, et Whitaker est aussi bon que d'habitude. J'hésite entre le 4/6 et le 5/6, parce que ça fait un moment que je l'ai vu.
Et aujourd'hui, je partais pour me faire mon aprèm nanards du mois, et au final je me suis planté.
Homefront n'est pas une stathaminade habituelle, malgré ses airs de déjà vu. Il y a bien une scène d'action et demi, mais ça reste très roots. On est en fait bien plus proche d'un long épisode de Justified, malheureusement décrassé (on est pas sur FX). Des loosers qui s'embrouillent pour des conneries et qui font des trucs débiles pour s'en sortir, avec un badass au milieu. Dommage, le protagoniste est le classique ex-flic à la retraite anticipée, mais pour une fois le rôle est un peu plus étayé. Il passe plus de temps à s'occuper de sa gamine et de sa baraque qu'à trucider du bad guy. Et James Franco, même dans un rôle mineur d'antagoniste, reste super bon. Un polar mineur qui vaut son 4/6.
Du sang et des larmes, quand à lui, est la commande de l'armée américaine pour avoir son Soldat Ryan afghanisé. Les mêmes bon points, et les mêmes inconvénients. Malgré les 5min au début et les 30s à la fin, les bons sentiments de fraternités viriles n'envahissent pas l'histoire. Ca reste beaucoup plus proche de Black Hawk Dawn ou de Soldat Ryan, y a pire comme références. Et Peter Berg ne m'a pas déçu. Le petit protégé de Michael Mann évite toute surenchère et reste le plus terre-à-terre possible. J'ai jamais vu un bodycount aussi faible dans un film de guerre avec 4 soldats d'élites comme héros. Ils en prennent plein la gueule, ils galèrent, c'est extrèmement intense, brutal, et très peu héroïque. De brave gars qui crèvent comme des chiens sur une montagne anonyme. 4,5/6.
Albator, le Corsaire de l'Espace (Celui qui est au ciné en ce moment) : C'est visuellement sympa et scénaristiquement pourri. Vers la moitié du film, je me disais "au final, même un scénario super classique passe bien quand le reste est là", mais vers la fin, ça devenait quand même de plus en plus difficile de tolérer le scénar.
Les vaisseaux sont super classes, et les scènes de combat plutôt sympa. On est en plein dans les clichés et les trucs déjà vus un paquet de fois, mais ça marche quand même. C'est juste un poil dommage que les combats soient toujours à sens unique : l'attaquant ne subit aucune perte et balaye les défenseurs en un instant.
Y'a aussi de l'abus au niveau des personnages féminins. Sur les trois (tous les autres personnages, y compris les secondaires/figurants sont des hommes), deux portent des vêtements moulants (mention spéciale à la combinaison spatiale avec string intégré) et une à droit à une scène de douche qui n'a absolument aucun autre intérêt que le fan service.
_____________________________________________ Muscles, sang, sexe, intelligence... et carreaux.
Surprenant, puis décevant sur la fin. La lettre d'intention était pas mal, faire revivre les films d'espionnage de la guerre froide. Pendant 2/3 du film, ça réussit pas mal. On est loin de la complexité scénaristique des vieux classiques d'espionnage, mais l'ambiance "Mur de Berlin-Kremlin" est là. Et puis ça s'emballe, l'action commence et prend le dessus sur le scénario. Tout à coup, des incohérences énormes apparaissent et viennent gâcher le plaisir. Dommage. Espérons qu'ils s'en sortiront mieux sur les suivants. Espionnage : 3/6
The Dallas Buyers Club :
Le sida au Texas pendant les Années de Mort (85-95), les magouilles autour de la R&D des médocs une fois qu'on sait que ce n'est pas juste "une maladie de pédés", Matthew McConaughey et Jared Leto merveilleusement déprimants... Un excellent film, vraiment, mais une putain de grosse déprime. 5/6
La trame est convenue, mais l'histoire est sympathique, le ryhtme est très bien maitrisé, et c'est très drôle, et pas que pour les gamins. Ca faiblit un petit peu vers la fin, et il y a un "twist" dont ils auraient pu se passer, mais c'est heureusement pas trop mal traité, donc même si ça fait peur quand on le voit arriver, ça passe.
Je l'ai vu en 3D, mais c'est à peine si je m'en suis rendu compte. Elle est donc probablement dispensable, mais au moins elle n'impacte pas négativement le film. Je sais pas ce que vaut la VF, mais les voix en VO sont géniales, avec des grands noms qui sont super bons dans leur rôle.
_____________________________________________ Muscles, sang, sexe, intelligence... et carreaux.
Je m'attendais à un énorme nanar, j'ai eu droit à un énorme navet. C'est encore plus pourri qu'Underworld, qui était jusque là pour moi la plus grande purge beatlit. 1/6, et je suis gentil.
Robocop
Assez étonnant. Une mauvaise vision de Robocop, mais un film de SF potable. Ca se laisse regarder, mais ça ne surnage vraiment que grâce au niveau général pourri de la SF des années 2010. Quand même quelques bons points qui m'ont surpris : Michael Keaton en dirigeant d'Omnicorp version Richard Branson, le design finalement pas mal de Robocop, et surtout Samuel L Jackson en merveilleux présentateur de Fox News. SF moderne : 3/6.
Celui là, oui. Il s'agit d'un reboot du personnage pour en faire une licence entre Mission Impossible et Jason Bourne. Je ne sais pas si le nouveau film est basé sur un bouquin. Dans ce 1er opus, on assiste à la genèse du personnage. Etudiant, soldat, analyste dormant de la CIA, puis agent de terrain.
T'exagère sur Albator Blade. En temps que Fan, je dois me porter en faux: La Scène de douche n'as aucun intérêt, même pour un fan!
Après, personnellement, le visuel aussi m'as déçu. Il est bien fait, mais c'est du Final Fantasy, du Starcraft 2, là ou une oeuvre d'animation mérite quand même d'avoir sa propre patte. C'est couillon.
Ceci dit, ça m'as bien fait marrer, un film ou le héro charismatique voit son équipe lui dire à 30mn de la fin "Mais en fait, tu fait que de la merde!"
Chez Aztechnology, nous sommes très à cheval sur l'éthique.
Nous faisons des sacrifices.
Oui, mais des sacrifices humains.
Le scénario de Jack Ryan Begins est une création originale. The Hunt for Red October, publié en 1984 et se déroulant la même année, est le premier roman de Tom Clancy avec le personnage de Jack Ryan. Il a publié ensuite Patriot Games en 1987, mais dont l'histoire se déroule en 1981, et qui constituait sa première aventure.
Il n'y a pas beaucoup de romans avec Jack Ryan qui soient "low-levels" : Red October, Patriot Games, Red Rabbit, The Cardinal of the Kremlin. Dans Clear and Present Danger ("Danger Immédiat", adapté avec Harrison Ford), il est déjà directeur adjoint par intérim. Dans The Sum of All Fears, il a été nommé définitivement directeur adjoint (le film avec Ben Affleck le met à un niveau subalterne). Et dans Debt of Honor, il devient même président des Etats-Unis (et la série continue !).
Le dernier de Jarmush m'a bien plu, sans que je puisse vraiment expliqué pourquoi. Bien sûr, c'est bien fait, bien joué, l'ambiance est très bonne. Mais surtout, ça ma parlé. A côté de moi, Jude s'est fait chier à mort. C'est du Jarmush, quoi, on est réceptif ou on l'est pas. ^_^ Dépression contemplative (avec des vampires) : 4/6
Le dernier (encore) (hélas) film de Myasaki est une merveille comme il se doit. Mais une merveille bien différente que celles qui ont fait sa célébrité. C'est une biographie à demi fictive autour de l'ingénieur aéronautique qui inventa le F-0 japonnais dans l'entre deux guerre, dont Myaaki a enrichit la vie d'une romance tirée de la biographie d'un auteur célèbre à la même époque.
C'est visuellement magnifique, la qualité Ghibli est là, toujours au top. C'est super précis, ça fourmille de détails et les ambiances sont bien retranscrites. La bande son est aussi super (merci Joe Hisaichi), notament tout les sons d'avions, de tremblements de terres ou autres explosions qui sont assourdis est semble produits par des bouches humaines, donnant une intensité à la limite onirique à de nombreuses scènes magnifiques.
Car même s'il n'y a pas un brin de fantastique dans cette histoire, il y est beaucoup question de rêve ( "les avions sont des rêves maudits, dit un protagoniste onirique, de beaux rêves condamnés à la guerre") et ceux-ci donnent lieux aux meilleurs scènes du film à mon sens, où le génie qu'on connait de myazaki s'exprime. Il y a aussi la scène du tremblement de terre qui est l'une des séquence qui cinématographique qui m'a fait la plus forte impression (au ciné) depuis bien longtemps.
Enfin je suis toujours admiratifs des personnages de ces films, qu'on ne présente jamais en détails (sauf le personnage principal dans ce cas, ofc), mais qui viennent à l'écran avec tout un pannel d'expression, d'intonnations, un vocabulaires propres à chacun, bref tous sont crédibles, vivants et nous entraînent dans leurs histoires. Et puis c'est probablement le film le plus doux-amer de Myazaki et le plus ambigü aussi (que de chemin parcouru depuis le manichéisme écolo de Conan Fils du Futur).
Et bien sûr si vous aimez le vent et les avions vous allez vous régaler.
Ah oui, j'avais oublié d'en parler. J'ai également beaucoup apprécié. Mais c'est vrai que ça m'a rappelé autant Jiro Taniguchi que Miyazaki, et le décalage avec ce qu'il fait d'habitude en a rebuter pas mal apparemment.
Oui, c'est assez habituel et compréhensible. Par exemple mon père s'est fait chier. Mais c'est juste qu'il aime pas les biographies, alors forcément...
Après midi ciné hier avec Sly. Je ne suis donc pas le seul à avoir voulu voir...
La Légende d'Hercule !
Le plus beau nanar boursouflé depuis des années. L'acteur principal a trop utilisé d'autobronzant et de Colgate, la réal est moche, mais MOCHE ! A en pleurer du sang. Tout le monde joue faux comme si leurs vies en dépendaient, les FX sont à chier, les dialogues sont pires, et le scénar, du grand art ! Un bon gloubi-boulga de tous les poncifs depuis Gladiator et Narnia. On s'est bien marrés. Un seul regret, qu'on n'ait pas pû enchaîner avec Pompéi... Maintenant, j'attends de pieds fermes Hercule avec The Rock, parce que là, au moins... y aura The Rock. Navet en jupettes : 1/6
Mais on s'est rattrapé pour la suite...
Closed Circuit
La bonne surprise de la journée. Un bon thriller espionnage/juridique, entre un épisode de Spooks/MI5 et un film de procès sous pression (genre l'affaire Pélican). Eric Bana, Rebecca Hall et tous les seconds rôles sont tip-top, le scénar met la pression, de même que la réal bien paranoïaque. Petit bémol, on est au courant du fond de l'affaire assez vite, j'aurai préféré un peu plus de flou. Mais c'est largement compensé par le désenchantement du film. Un thriller aussi pessimiste ne pouvait que me plaire. Ca m'a pas mal rappelé The Interpreter ou The International. Avocats en eaux troubles : 4/6
Captain America : Winter Soldier
Passons vite fait sur le qualitatif, pour nous concentrer ensuite sur le débat, que dis-je, le schisme (!), qui opposera les râleurs à ceux qui s'en foutent. L'éternel combat autour des films de geeks, quoi.
Réal : Assez impersonnelle mais efficace et pêchue. Acteurs : Corrects sans plus pour des rôles étriqués. Vous voulez voir du développement de personnages, allez voir Agents of Buffy... pardon, of SHIELD. Histoire : Vraiment cool, j'aime bien où ça nous emmène et j'ai hâte de voir la suite. Mais y a des longueurs. Action : Ca claque pas mal, mais c'est pas vraiment du superhéros. Ce qui nous amène au "problème".
Le truc qui a fait tiquer une bonne moitié des gens que j'ai pu entendre, c'est que ça aurait dû s'appeler Captain America : SHIELD Soldier. On sent bien la volonté de Marvel de différencier ses licences. Thor devient la licence comique, Avengers la licence "compromis qui plaît à tout le monde", et Captain America nous la joue barbouze. On a là un thriller d'action rempli d'espions, de traîtres, de magouilles et de vieux plans de la guerre froide. L'action illustre parfaitement la chose. Pas de grande séquence rocambolesque (à part la fin, quand même), pas de confrontations bibliques. Captain America contre Winter Soldier, ça donne ça : Je sors un flingue et je te crève. Tu vires mon flingue ? Je sors un couteau et je te crève. Tu vires mon couteau ? Je sors un deuxième couteau et je te crève... Dès que ça part en cahouète, c'est la Guerre. Les dommages collatéraux sont effroyables, y a pas de grande tirade, pas d'instants de doutes. Ils sont là pour se crever la gueule et ils la ferment. Personnellement, vous vous doutez que ça m'a plu. Le trailer me faisait penser aux comics Secret War ou Wolverine Enemy of the State, et c'est ce qu'on a eu. Si vous voulez voir du superhéros flamboyant qui sort des punchlines en plein combat et qui a la classe en permanence, passez votre chemin. Si vous vous en tapez et que vous avez pas envie d'avoir des licences avec toutes le même ton et la même ambiance, allez y, il est vraiment cool.
Superhéros en uniformes moulants : 4/6 (parce que quand même c'est vraiment pas mal fait) Barbouzes en uniformes moulants : 5/6
De la production Besson de qualité. Plus léger que Taken, moins grand guignol que From Paris With Love, ça se regarde gentiment. Les scènes d'action sont bien troussées, les gags font sourire, et Kevin Costner est franchement bon en barbouse dépassé par sa gamine ado. C'est complêtement oubliable, surtout à cause des nombreux stéréotypes déjà vus, mais c'est bien fait. Papa d'action : 3/6
Monuments Men :
C'est clairement un hommage aux comédies de guerre américaines. Pensez "De l'or pour les braves" en moins anar. On s'amuse, on sourit, on profite d'un bon moment avec de bons acteurs qui se font plaisir dans un film bien fait... Mais c'est à peu prêt tout. Les scènes s'enchaînent sans rien pour les lier, aucun moment ne reste vraiment en mémoire. C'est agréable mais ça manque de quelque chose. De l'Art pour les braves : 4/6
AmericanBluff :
Honte sur moi. Dire que j'aurai pu le voir il y a plus d'un mois, et que je ne vous en parle que maintenant qu'il va quitter ses dernières salles. On pourrait vous dire de le voir pour son scénar rythmé, sa réal funky ou sa reconstituion tragi-comique des 70's. Mais il faut surtout le voir pour ses acteurs. Ca fait trèèès longtemps qu'on avait pas vu un "film à performances" comme ça. Ils sont TOUS au sommet de leur art, et c'est un plaisir énorme de les suivre, que ce soit dans les scènes bouffones ou dramatiques. Les autres avaient déjà une solide réputation, mais moi qui ignorait Jennifer Lawrence, ça va changer. Si vous ne pouvez voir qu'un film en ce moment, c'est celui-là. Si vous attendez les dvds, achetez le sans hésiter. Drame funky : 5/6
Je viens de voir X men day of future past, et j'ai franchement bien aimé!
La digne suite de X men beginning, donc bon, bien réalisé, bien joué, et une histoire sympas. Ca reprend sans doute pas mal de "Dieu créé, l'homme détruit" (qu'il faudrait que je lise un jour), mais du coup, l'histoire est vraiment sympas, et les ajouts divers et varié venant d'autre pèriode des X-mens (le futur, entre autre - et j'ai du en rater - ) sont très bien amené!
Bref, j'ai vraiment passé un bon moment!
"Sérieux, tu devient lourd avec ton canon d'assaut là, je te répète que c'est cool, ça gère !!! Et puis de toute façon, c'est pas le moment!!"
"Avec mon mépris, vous aurez mon poing dans la gueule qui que vous soyez, quelques muscles que vous puissiez transporter, quelle que soit la connerie, en même temps que les muscles, que vous puissiez transporter." Claude François.
Playtime: J'ai profité de son retour dans les salles pour aller le voir. Le début est bien, y'a une grosse longueur au milieu, et ça repart pour la fin, même si c'est globalement un peu long. Mais c'est du Tati : on sourit souvent, on rigole parfois, et y'a même quelques fois où on éclate de rire et on ressort en voyant le monde différemment.
Par contre, ce qui m'a frappé c'est qu'en fait, c'est thématiquement du pré-cyberpunk à la française : la société déshumanisante et la manière dont l'humain peut ressurgir dedans, avec une petite dose de chaos et d'anarchisme.
_____________________________________________ Muscles, sang, sexe, intelligence... et carreaux.
The Raid 2: The Raid 1 c'était 5 minutes d'histoire et le reste de gens qui se foutent sur la gueule (plus exactement 20 minutes de "on trouve un prétexte pour retirer les flingues" et le reste de gens qui se foutent sur la gueule). Dans The Raid 2, il y a beaucoup plus d'histoire. On se retrouve en fait avec un film de mafia asiatique classique, et c'est un peu dommage parce que niveau scénaristique, ça casse pas trois briques à un canard.
Les scènes de combat par contre, sont toujours du grand art. La preuve qu'on peut avoir une caméra à l'épaule mais de l'action lisible, qu'on peut avoir du (très très) sale très bien corégraphié..
Bref, les scènes de combat sont toujours aussi chouettes (ou presque, mais faudrait que je revoie le premier pour comparer) mais elles sont maintenant beaucoup plus éparpillées, et un peu plus à sens unique aussi. Dans le premier, ça se battait pour survivre, dans celui-là, hormi les combats de la fin, c'est plutôt un camp qui massacre l'autre (avec grosse insistance sur les moyens violents de tuer son prochain).
Mais bon, je peux pas non plus en dire du mal : un film où la moitié de la salle applaudit à la fin d'un combat puis rigole parce qu'une des victimes a une batte de base-ball incrusté dans le visage, ça n'est pas n'importe quel film. Mais il n'empêche que par rapport au premier, j'ai été déçu.
_____________________________________________ Muscles, sang, sexe, intelligence... et carreaux.
Moi je serai un peu plus méchant. Déjà le pitch c'était que ça commençait deux heures plus tard puis en taule. Oui, bon ben n'espérez pas un film en taule ou une suite directe. Ensuite comme dit Blade c'est deux tiers de parlote et d'histoire mal menée pour un tier de baston. Et j'insiste sur le mal mené. Parce que dans l'action du film était simple mais efficace et se tenait. Et derrière y avait une triple cross qui fait plaisir. Classique, effeicace, brutal comme le reste du film. Unité de temps et de lieu pour pas relacher la tension, etc. Là ça part dans tout les sens avec des dialogues qui veulent être classe entre des mecs qui se la pète mais en fait non. Il y a trouze mille lieux différents, plein d'ellipses temporelles et on passe de l'un à l'autre sans transition ce qui te pousse régulièrement à te dire "attends, on est où, là ? Qu'est-ce qu'il fout là, lui ?".
Ensuite les bastons. Là aussi, mêem si ça reste du dessus du panier, ça tiens à mon goût pas la comparaison avec le premier. Trop à sens unique et surtout encore plus trop surhumaine. Et trop stylisées. Dans le 1 c'est des flics et des gangsters, dont certains sont des experts, d'autres des pro et d'autres des gars qui chargent en hurlant avec une arme blanche. Et un des perso (le taré) à un style bien particulier. Là tout le monde à son petit gimmick de combat, son arme bizarre pour ceux qui comptes et en série pour les nonames. Blade souligne fort justement l'unilatéralité d'une bonne partie des bastons. Bref oui les bastons sont sympa, parfois drôles, mais non c'est pas ça que j'ai aimé dans le1 et que j'espérais dans le 2.
Niamor, mon colloc, résumait ainsi la chose : "le 1 était super parce qu'il n'y avait que l'essentiel au film d'action, ils avaient réussit à enlever tout les chichi scénaristiques ou visuels inutiles pour laisser de l'aciton pure". Du coup ils avaient du rabe et ils ont tout mit dans le 2".
Bref c'est un film d'action plutôt naze avec de bonnes scènes de baston. C'est un deux quoi.
Veronica Mars : le film. Oui je sais c'était y a quelques mois mais je viens tout juste de le voir. Et ben il est bien, c'est un très bon moment. Je le qualifierai pas non plus de super. C'est un peu comme un triple épisode de Veronica Mars, 9 ans plus tard. Les répliques, l'intrigue sale, les perso attachants, le fan service .... Mais j'espérais, en bon fan insatisfaisable un quelque chose en "plus", après 9 ans loin de Neptune's High. Je le recommande quand même chaudement à qui a aimé la série ;-)
Blade, tu es beaucoup trop sympa. C'était chiant à mourir, ça faisait bien longtemp que je n'avais pas eu envie de sortir d'une salle de cinéma pendant le film.
Les Gardiens de la Galaxie:
Pew pew pew - I am Groot - Pew pew pew - punchline - pew pew pew - badass - I am Groot. C'était trop bien!
La Planète des singes l'affrontement
C'était affreux affreux affreux. Sachant que mon empathie en ce moment est proche du super pouvoir, que j'ai lu le bouquin, j'ai vu le film avec Charlton Heston, j'ai (malheureusement) vu celui de Tim Burton, je SAVAIS que ça ne pouvait pas bien se passer. Résultat j'ai passé tout le film à être super tendue et à pleurer. Mais sinon il est bien hein.
Allez le voir. Il est trop bien. Jude fait une mauvaise pub et elle a aimé. J'ai pas rit de bon coeur au ciné depuis bien longtemps et j'envisage de retourner le voir. Ca aussi ça faisait longtemps. Le meilleur film grand public / action / aventure depuis... je sais plus.
Pareil que Jude. C'est un bon film d'action, le scenar est totalement improbable mais tout va tellement vite et les personnages sont tellement droles / badass qu'on s'en fiche en fait (mention speciale pour le raton laveur mutant cybernetique artilleur pilote ingenieur stratege, parce qu'il a un super jeu d'acteur !).
C'est une claque visuelle.
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"Entre le fort et le faible, entre le riche et le pauvre, c'est la liberté qui opprime et la loi qui affranchit" Henri Lacordaire (1848 - 2ème Revolution Française)
Y'as des mercos, alors c'est cool. Mais faut reconnaitre que niveau scénar, faut imaginer un MJ concilliant qui as accepté des joueurs avec des BG absolument improbables et qui les laisse récupérer en cinématique toute pièce d'équipement que l'intrigue aurait du leur faire perdre et que ça les embêtes de plus avoir (genre un vaisseau spatial). Avec tout ce que ça implique de jeu solo, de sauvetage de PJ improbable, de PNJ chair à canon, d'intégration de nouveaux perso en cours de partie etc, Mais comme y'as de la pizza, que les joueurs sont là pour s'amuser et que le système tourne bien, on passe une bonne soirée!
Chez Aztechnology, nous sommes très à cheval sur l'éthique.
Nous faisons des sacrifices.
Oui, mais des sacrifices humains.
Expandables 3: La scène de début est bien, pas exceptionnelle mais sympathique. Après on a une bonne heure (je dirais, j'ai pas chronométré) de vide avant une scène de fin monumentale quoique pas toujours lisible. C'est quoi cette manie de vouloir mettre de l'histoire et du développement des personnages dans des films qui n'en ont pas besoin ?
Au final, ça abandonne presque totalement les codes des actionneers des années 90. Sur beaucoup de points (histoire, réal, images), on est plus proches d'un thriller/action récent. Vu le thème du film, c'est probablement un parti pris, mais c'est un peu dommage quand même. Et Jet Li est encore moins présent que dans le 2 et il ne tabasse personne au corps à corps :(
Bref, encore un film qui sera mieux une fois réduit à 30 minutes.
_____________________________________________ Muscles, sang, sexe, intelligence... et carreaux.
Ninja Turtles: J'y suis allé sans trop savoir à quoi m'attendre. L'intro est très très bien foutue, puis elle enchaine sur un actioneer américain contemporain des plus classiques (on a l'impression parfois que le script a été fait par écriture automatique), mais néanmoins efficace. Ca se laisse bien regarder, ça évite les erreurs de la plupart des films du genre (la profusion de scènes inutiles), mais ça n'ose pas non plus se laisser aller aux moments de bravoure et de surenchère qui font le petit charme des autres blockbusters.
La mise à jour est pas mal, Shredder est plutôt réussi (et pour le coup un vrai guerrier redoutable), mais ça manque de violet et de gros bonhomme en slip avec un cerveau dans un aquarium à la place du ventre. Mais à la place on droit a un méchant qui a parfois des airs de Christopher Walken, ce qui est quand même pas mal.
Bonne surprise par contre : April ne se fait pas kidnapper, elle a un rôle de femme forte, le mec qui l'accompagne (rajouté là pour pouvoir caser l'histoire d'amour) a un rôle de personnage de soutien qui, il y a encore une dizaine d'années, aurait été celui de l'ancien petit ami looser qui se fait remplacer par le vrai héros testostéroné, ou celui de la copine du héros.
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Gone girl : Vu sur proposition de potes, je savais à peine de quoi ça parlait, j'ai été très agréablement surpris. Des twists en veux-tu-en-voilà, qui rendent le film un peu long par contre, mais pour une fin franchement inattendue. Une bonne enquête policière qui pourrait faire une inspiration sympa pour un scénario SR.
Le jeu d'acteur est top, il manque juste une explication du pourquoi (quoique certaines personnes n'ont pas besoin de mobile pour être des psychopathes). Bref, un bon film !
Aurait mieux fait de s'appeler "Barney Ross and the Expendables". Les persos originaux sont relegués au rang de side-kicks :
Statham, le lanceur de couteaux, tire à l'arme automatique
Li, l'expert en arts martiaux, tire à l'arme automatique
Lundgren, tireur d'élite et instable psychologiquement, tire à l'arme automatique et est très calme. A un moment, il a un lance-grenade dans les mains mais ne s'en sert pas.
Crews, spécialiste en armes lourdes, est dans le coma. Il est "remplacé" par Ortiz, soit-disant expert en armes, qui utilise un shotgun de base
Couture, expert en destruction/merco ork, tire à l'arme automatique et ne fait pas de blague sur ses oreilles.
Schwarzenegger tire à l'arme automatique
Il sont rejoint par Snipes, médecin qui ne soigne jamais personne et aussi lanceur de couteaux qui tire à l'arme automatique. Par contre, il (enfin sa doublure) fait du parkour.
Puis viennent les personnages petits jeunes avec des spécialités loufoques qui seront surexploitées pendant le reste du film :
Lutz est un ancien marines indiscipliné (mais qui suit quand même les ordres). Il (enfin sa doublure) pilote une moto.
Rousey fait du catch.
Powell hacke des trucs et fait de l'escalade. Il aime tellement l'escalade que dans la scène finale, il escaladera un conduit d'ascenceur pour aller sur le toît du batîment alors que tout le reste de l'équipe essaye de se descendre par les escaliers.
Banderas a 6 en edge et passe son temps à raconter des choses ineptes. Il (enfin sa doublure) fait aussi du parkour.
La bonne nouvelle, c'est que Stallone va un petit peu délaisser The Expendables pour se concentrer sur un autre projet.
"Avec mon mépris, vous aurez mon poing dans la gueule qui que vous soyez, quelques muscles que vous puissiez transporter, quelle que soit la connerie, en même temps que les muscles, que vous puissiez transporter." Claude François.
Pas de retours sur le hobbit? Je regarde les critiques sur le net, mais personne n'as l'air de relever ce qui m'as géner. Du coup je me sens seuuuuuul!
Et en plus, pas moyen de grater Willow quelque part.
Chez Aztechnology, nous sommes très à cheval sur l'éthique.
Nous faisons des sacrifices.
Oui, mais des sacrifices humains.
"Entre le fort et le faible, entre le riche et le pauvre, c'est la liberté qui opprime et la loi qui affranchit" Henri Lacordaire (1848 - 2ème Revolution Française)
Boarf, j'était plus embété par des défaux de réalisation et des partit pris que de fidélitée à l'oeuvre... (même si les moments sympa que j'attendait sont jamais venu)
Chez Aztechnology, nous sommes très à cheval sur l'éthique.
Nous faisons des sacrifices.
Oui, mais des sacrifices humains.
17 ans plus tard je voit avec grand plaisir le film hypie / altermondialiste / new age sans se prendre au sérieux / feelgood / ... le plus décomplexé qu'il m'ai été donné de voir : La Belle Verte.
C'est pas toujours fin, ou plutôt la critique et l'idéologie ne se voilent pas, mais c'est toujours drôle, plaisant et, à mon humble avis de gaucho descendant de post hypies, loin d'être faux. Vous n'y apprendrez probablement rien de nouveau, et les reflexions que le films portent ont été dites à bien des sauces mais 1/ c'est la première fois que ça me plait autant 2/ c'est toujours pas assez dit.
Sinon dans les morceaux choisits je dirait que Cotillard dans son petit tiers-rôle passe sans soucis, que les "déconexions" sont aussi stupides que drôles, qu'il y a un concert avec le Quatuor (si vous connaissez pas le Quatuor, renseignez-vous, c'est un des groupes les plus comiques que je connaisse), un match de foot chorégraphié et la meilleure enguelade d'automobilistes du cinéma.
Bref n'hésitez pas à mettre votre aigreur et votre cynisme de côté pour passer un bon moment devant ce film, moi ça m'a fait du bien ^^
Worry is useless or needless
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Le chemin des mots
Brendan et le Secret du Livre de KeLL Joker. Puis d'ou t'as un Vidéo projecteur alors que le mien est mort? Ouuuiiiiiin!
Hum, bref. Un bon dessin animé (j'utilise le terme sciamment ça fleure bon la nostalgie et ça fait moins snob que film d'animation).
Puis jettez un oeil au vrai livre de Kell, doit y avoir des illustrations sur Wiki. C'est impressionnant. Un bon objet de quête pour Shadowrun!
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Nous faisons des sacrifices.
Oui, mais des sacrifices humains.
Entre l'avion et différentes chaînes cinéma, j'ai eu pas mal d'occasions de voir tout ou partie de divers films. Voici donc un tir groupé.
Nightfall (Chow Hin Yeung Roy -2012) : Un excellent thriller psychologique hong-kongais. Un scénario bien mené qui révèle peu à peu une histoire belle et sordide. C'est juste dommage que les deux personnages principaux des flics sont un peu trop génériques (pour le coup Simon Yam est assez transparent), surtout face à Nick Cheung, excellent dans son rôle de stalker dérangé.
The Chef, The Actor, The Scoundrel : La Chine pendant la seconde guerre mondiale. Une épidémie de choléra décime la population. Un bandit complètement branque braque une diligence, et se retrouve, avec les passagers du véhicule, dans un restaurant tenu par un couple de sino-japonais complètement timbrés, et où bosse un acteur pas beaucoup plus sain d'esprit. Les passagers du véhicule : deux militaires japonais. Leur cargaison : des produits bactériologiques. Ca part dans tous les sens, avec beaucoup de branque et de surjouage, pour finalement dévoiler un Xanatos Gambit qui vire très vite au Xanatos Roulette.
Au final, ça ressemble plus à un prétexte absurde pour se laisser aller à du branque surjoué, mais étonamment ça prend pas trop mal. On passe du tragique au wtf d'un plan à l'autre et on passe globalement un bon moment.
Painted Skin : Un général sauve une esclave lors de l'attaque d'un camp barbare et la fait rentrer dans sa cour. Le seul problème, c'est qu'elle est en réalité un démon renard qui se nourrit de coeurs humains. Tombée amoureuse du général, elle veut en devenir la femme, tandis qu'un guerrier bad-ass, une chasseurse de démons et l'actuelle femme du général tentent de prouver qu'elle est un démon. On s'attend à un film de sabre ou de kung-fu dans la Chine médiévale, mais en réalité on est plus dans un genre de comédie romantique avec un peu de combats. Ca se laisse regarder malgré tout.
Holding Love : Un couple divorcé après un très court mariage apprend qu'il a gagné un séjour luxueux. Mais une fois sur place, elle se fait enlever tandis que lui reçoit une demande de rançon. Là encore, on a droit à une belle Xanatos Roulette où les twists s'enchainent. C'est rigolo, mais ça va pas trop loin non plus.
Titre iconnu : L'Empereur de Chine est menacé par plein de gens, dont des organisation criminelles et, pire que tout, des perfides pirates japonais. Mais bon, le garde du corps de l'empereur c'est Jet Li. Du coup Jet Li tabasse du monde. Principalement avec un baton. On appréciera le fait qu'il n'a pas de gamin sidekick et qu'il se content essentiellement de se battre.
TED: Un mec essaye de concilier sa vie d'adulte (et notamment sa vie de couple) et son pote nounours vivant. C'est de la comédie bien grasse, mais ça m'a fait bien rigoler, et c'est moins moralisateur que ce à quoi on peut s'attendre.
La Momie: la tombe de l'Empereur Dragon : C'est bien moins nanardisant que ce à quoi je m'attendais. C'est du pulp qui ne se prend absolument pas au sérieux et c'est techniquement bien foutu, bien chorégraphié, joué comme il faut. Du bonheur.
The Guillotines : Les guillotines sont les assassins de l'Empereur (dynastie Qing). Ils se battent avec une arme à la fois totalement absurde et géniale. Ils sont envoyés pour traquer un activiste politique. Mais l'arrivée des armes à feu risque de rendre les Guillotines obsolètes. Le début fait film d'action, puis on part dans autre chose. On assiste à une sorte de démolition du schéma typique, ce qui est à la fois intéressant et décevant.
C'est un peu comme un film qui ferait un pied de nez au flingue de Chekov en mettant plein de flingues partout mais sans qu'un seul coup de feu ne soit jamais tiré. D'un côté, l'approche est intéressante. D'un autre côté, ça frustre. J'imagine qu'un peu plus de talent de mise en scène aurait permis de rendre le choix qui a été fait plus enthousiasmant.
J'en ai vu qu'un bout, mais ça vaut d'être mentionné :
Ip Man 2 (2010) : J'ai vu la fin, où Ip Man se bat contre un boxeur anglais. Le combat entre le boxeur tout en muscles et le shifu tout en technique est très très bien fait.
Golden Chicken 2 : L'histoire décalée de la vie particulière d'une prostituée hong-kongaise, une histoire qui s'inscrit dans celle de Hong-Kong. C'est assez drôle, et si j'ai bien compris, le premier est encore mieux.
J'ai l'impression d'en avoir oublié un ou deux. Si jamais ça me revient en tête, je posterai.
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SnowPiercer: c'est beau et c'est sale.
Chris Evans a gagné son statut de badass (non, Captain America n'est pas badass). Tout le casting est génial. Les décors sont superbes. Le scénar est fantastique.
Awake and alive.
L.
Nom de d'là ! Pas un post depuis 4 mois....
Je ne me reconnais plus, c'est la déchéance. Procédons avec méthode, par ordre décroissant de qualité. Commençons par l'actualité (qui commence à sentir le poisson pas frais quand même).
Gravity :
Cuaron est un salaud. C'est moche de faire ça à tous ses collègues réalisateurs passé, présent et à venir. Comment vont ils oser comparer leur film dans l'espace au sien ? C'est moche aussi de faire ça à nos porte monnaies. Comment va t on râler que la 3D ne sert à rien maintenant ? Vraiment, un film pareil, c'est de l'abus. Et voilà que je te fais un quasi-blockbuster avec Clooney, et voilà que ça me suffit pas, que j'y mets tout plein de symbolique puissante sur l'empowerment, que je révèle Sandra Bullock, que j'invente une nouvelle manière virtuose de filmer l'espace, que je reste terriblement anxiogène alors que j'annonce tout 5min à l'avance, que je montre à tout le monde comment on fait de la 3D, que je me permets un huit clos à personnage quasi-unique à 100 millions de dollars, .... Que ce Alfonso Cuaron est plein de suffisance !
Mais putain il la mérite, le con...
Un météore dans vos gueules : 5/6
Le Transperceneige :
La grosse claque. Un petit bijou qui n'a pas eu le box office qu'il mérite. De la SF comme on aime, âpre, rouillée, violente, avec juste ce qu'il faut de caricature sociale pour élever l'ensemble. Un casting impeccable au service de l'histoire, et le réal de Memories of Murder en très grande forme. Il nous offre là une leçon de mise en scène. Le cadrage, le montage, la lumière (putain, la lumière !), vous n'avez jamais vu une plus belle démonstration de fuite en avant. Je ne sais pas ce qui vient de la bédé et ce qui a été créé pour, mais le film regorge de trouvailles magiques et d'éclats visuels et symboliques. C'est un bonheur à regarder.
Une locomotive dans vos gueules : 5/6.
Thor, le Monde des Ténèbres :
Thor le Chevalier d'Argent du Tonnerre doit tabasser des Elfes Noirs de l'Espace parce qu'ils veulent tout pêter. Comment va t il les arrêter ? En leur enfonçant le Pouvoir de la Science avec son Gros Marteau™. Personne n'aurait pu prendre ce synopsis au sérieux, et je suis très reconnaissant à Marvel de ne pas l'avoir fait. Thor devient la licence comique des films marvels, et ça marche vraiment bien. Chapeau bas aux scénaristes et aux designers de ce 2ème opus, ils ont réussi à sauver les meubles malgré le passif catastrophique du 1er. Asgard gagne des petits airs de Minas Tirith pas dégueux (mais qui ne suffisent pas à la rendre classe) mais on s'y fait un peu chier pendant 20min. Après ça, ça décolle pour ne jamais atterir. L'action claque bien, l'humour régulier fonctionne, Loki est formidable et on s'amuse beaucoup. Au dessus des 1ers Ironman, encore en dessous de Avengers.
Marvel movie : 4/6
Captain Phillips :
Bien mieux que ce qu'on entend dire. Bien sûr, c'est juste un film "catastrophe" de confrontations entre un capitaine de cargo et des pirates somaliens, mais dans son genre c'est très réussi. Le rythme et la réal maintiennent la tension tout du long, les situations changent suffisamment pour que le scénar ne s'enlise pas, et les acteurs sont justes, surtout les pirates somaliens. Bien sûr, si la caméra de Greengrass vous donne la gerbe (Jason Bourne), dites vous que cette fois ci il tourne en mer !
Film sous tension : 4/6
La Stratégie Ender :
Surprenamment convenable ! Je ne pensais pas le bouquin adaptable, mais Scott Card a participé au scénar et ça se sent. On est très loin de la complexité et de la subtilité de l'oeuvre originale (le frêres et la soeur ont quasiment disparus par ex), mais les thématiques et l'ambiance n'ont pas été sacrifiés. Les jeunes acteurs sont franchement corrects, surtout Ender, et ça se suit avec plaisir, si on accepte que ça ne pouvait être qu'un film mineur. Les scènes de batailles spatiales sont sympas, mais le Jeu est assez râté amha.
SF sans prétention : 3/6
Cartel :
Du petit Ridley Scott, et du très mauvais McCarthy. C'est beau, c'est très bien joué, le scénar se tient et l'ambiance poisseuse et crue est bien plantée. Mais qu'est ce qu'on se fait chier ! L'intrigue n'avance déjà pas bien vite et manque un peu d'intérêt, mais dès qu'ils ouvrent la bouche, on a droit aux dialogues les plus soporifiques et les plus convolutés (ce mot n'est là que pour vous illustrer l'ambiance) depuis l'Architecte de Matrix. Heureusement, certains s'en sortent bien (Cameron Diaz, Javier Bardem,...).
"Traffic" raté : 2/6
Evasion :
Sylvestre et ARNOOOLD sont dans un bateau, et je vous ai spoilé le mystère. C'est vaguement rigolo pour les nostalgiques comme moi, mais il faut bien dire que le scénar est moyen, les dialogues transparents et l'action convenue. Ca m'a pas excité plus loin que la demi-molle.
Fan service vieillissant : 2/6
Et maintenant, le tir de suppression des vieilleries !
Pacific Rim
Je suis pas objectif, j'étais le coeur de cible. Del Toro prend ses figurines d'Evangelion et de Godzilla et fait Crash ! Fiouuu ! Boum ! avec sa bouche. Ensuite, il demande 190 millions pour rajouter tous les clichés du genre en un seul film, et on lui donne avec un sourire, parce que c'est Guillermo. Et après on fait Crash ! Fiouuu ! Boum ! avec lui.
Pas-Objectif-Veux-Coucher-Avec-Lui : 6/6 !
The World's End
Tout a déjà été dit sur The World's End, alors j'ajouterais juste que c'est mon préféré de la trilogie Cornetto. Et j'emmerde les aigris qui ont tout trouvé nul passé l'intro de Shawn of the Dead.
Trilogie Cornetto : 6/6 (ou peut-être 5, parce que je trouve Pierce Brosnan sous-exploité)
The Conjuring
En tant que film pour faire peur ? Raté, les artifices sont archiconnus et attendus. En tant que film qui écrase sous la tension tout du long et qui met en scène deux investigateurs de l'Appel de Cthulhu dans une ambiance 60 parfaitement reconstituées avec des acteurs sur le fil du rasoir ? Un must.
Film qui fait pas peur mais quand même : 4/6
2 Guns
Un buddy movie bien débile et sympatoche, en majeure partie grâce au duo Washignton/Wahlberg.
Buddy movie bien débile et sympatoche : 4/6
Elysium
Grosse déception malgré de très bonnes bases de départ. De la SF du barrio, qui râpe bien sous la colonne vertébrale, et servie avec un visuel fantastique. Deux premiers tiers solides qui flattent nos papilles d'esthètes de la déliquescence, mais un dernier tiers d'action brouillon qui s'emmêle les pinceaux et une fin qui dégouline de guimauve. Ca a tout l'air d'une récupération des commandes par les producteurs, mais devant le peu de passif du réal, je ne peux pas écarter l'hypothèse qu'il ait perdu pied dans une prod trop hollywoodienne pour lui. Pourtant, de belles trouvailles de réal surnagent.
District 9 du futur : 4/6
Insaisissables
Avant d'éclater du zombie, Colombus et Tallahassee faisaient des tours de magie que même David Copperfield il comprend rien. Mais Morgan Freeman essaie d'expliquer quand même alors qu'on préfèrerait ne pas savoir. Et à la fin les gentils voleurs gagnent. C'est fun, c'est frais, mangez en, ça fait sourire.
Arsène Copperfield : 3/6
RED 2
Plus réussi que le 1er. Plus malin, plus drôle, plus funky.
Red : 3/6.
White House Down
Du bon Roland Emmerich. Pas du Grand Roland Emmerich comme pour 2012, ce zoolander du film catastrophe. Non, du vraiment correct Roland Emmerich. Un scénar à la Die Hard, un Channing Tatum hautement sympathique, un Jamie Foxx très obamesque, de l'action bien troussée, et un président of the United States en train de tirer à la roquette sur sa pelouse depuis sa limousine blindée poursuivie par des 4x4 à miniguns. On profite du spectacle, on rigole un peu, et on se repose le cerveau en appréciant enfin un Emmerich bien réalisé. Cerise sur le gâteau, quelqu'un a empêché Roland de nous mettre ses poncifs sur l'American Way of Life, ses discours pompeux et ses sacrifices héroïques. Très étonnant autant de retenue de la part de cet homme. Et arrivent la fin, enfin, où Roland se venge de toutes les frustrations du reste du film. Une fin, que dis-je, un apex (!) qui ferait passer Call of Duty pour un poême de Rimbaud. Ca m'a mis la larme à l'oeil ce cri de désespoir, aussi pataud, aussi lourdement symbolique, aussi afffreusement maladroit. Avec cette fin, j'ai retrouvé du Grand Roland Emmerich.
Die-Harderie : 3/6, parce que quand même c'est bien fait.
Kickass 2
Moins apprécié que le 1er, malgré une Mother Russia de toute bêâûté ! Un méchant foiré, un scénar bof, un Jim Carrey inutilisé, ...
Kickass 1 : 3/6
Lone Ranger
Comme Blade et Joker, trop long à démarrer malgré quelques éléments forts sympathiques, mais un final à faire crever de jalousie Jack Sparrow.
Cowboys of the Wild West : 3/6
RIPD
Dommage, avec "Ghostbusters croise Men In Black", ils avaient un potentiel nanard évident. Mais c'est nul, rien à en tirer.
1/6
Wolverine, le combat de l'immortel
Tout pourri, mais plus que RIPD, parce qu'on a même pas Jeff Bridges qui surjoue.
1/6
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Si on veut me tuer, c'est que je suis encore vivant.
Géno ta vraie vocation dans la vie c'est critique de blockbuster. J'ai presque envie de regarder White House Down maintenant
Worry is useless or needless
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Le chemin des mots
Pour le coup, il est vraiment sympa à regarder. On s'accroche vraiment au héros, les seconds rôles fonctionnent bien, ça pète dans tous les sens. Dans ce genre de film d'action, aux taux d'explosion inversement proportionnel à la profondeur du scénario, c'est efficace et distrayant. Ca vaut The Rock, par exemple.
Et vraiment, la fin est tellement, tellement drôle.
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Si on veut me tuer, c'est que je suis encore vivant.
HAAAAAAAA
Le monde me hait.
Le film Véronica Mars ne sortira pas au cinéma en France. Quand on pense que les fans de Justin Bieber ont réussi à imposer le sien...
Bon, je vais aller m'installer aux États-Unis moi...
Awake and alive.
L.
Ouais que veux-tu, j'suis un mouton à la solde du capitalisme...
Awake and alive.
L.
Et c'est vrai que l'écran de 30m n'a aucun intérêt. Après tout, on en a tous un chez soi.
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Si on veut me tuer, c'est que je suis encore vivant.
Zulu
J'ai oublié d'en parler, mais c'était bien cool. Du polar noir dépaysant, bien cru et personnel comme on aime. Bloom fait oublier ses années de blondasse, et Whitaker est aussi bon que d'habitude. J'hésite entre le 4/6 et le 5/6, parce que ça fait un moment que je l'ai vu.
Et aujourd'hui, je partais pour me faire mon aprèm nanards du mois, et au final je me suis planté.
Homefront
n'est pas une stathaminade habituelle, malgré ses airs de déjà vu. Il y a bien une scène d'action et demi, mais ça reste très roots. On est en fait bien plus proche d'un long épisode de Justified, malheureusement décrassé (on est pas sur FX). Des loosers qui s'embrouillent pour des conneries et qui font des trucs débiles pour s'en sortir, avec un badass au milieu. Dommage, le protagoniste est le classique ex-flic à la retraite anticipée, mais pour une fois le rôle est un peu plus étayé. Il passe plus de temps à s'occuper de sa gamine et de sa baraque qu'à trucider du bad guy. Et James Franco, même dans un rôle mineur d'antagoniste, reste super bon. Un polar mineur qui vaut son 4/6.
Du sang et des larmes,
quand à lui, est la commande de l'armée américaine pour avoir son Soldat Ryan afghanisé. Les mêmes bon points, et les mêmes inconvénients. Malgré les 5min au début et les 30s à la fin, les bons sentiments de fraternités viriles n'envahissent pas l'histoire. Ca reste beaucoup plus proche de Black Hawk Dawn ou de Soldat Ryan, y a pire comme références. Et Peter Berg ne m'a pas déçu. Le petit protégé de Michael Mann évite toute surenchère et reste le plus terre-à-terre possible. J'ai jamais vu un bodycount aussi faible dans un film de guerre avec 4 soldats d'élites comme héros. Ils en prennent plein la gueule, ils galèrent, c'est extrèmement intense, brutal, et très peu héroïque. De brave gars qui crèvent comme des chiens sur une montagne anonyme. 4,5/6.
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Si on veut me tuer, c'est que je suis encore vivant.
Albator, le Corsaire de l'Espace (Celui qui est au ciné en ce moment) : C'est visuellement sympa et scénaristiquement pourri. Vers la moitié du film, je me disais "au final, même un scénario super classique passe bien quand le reste est là", mais vers la fin, ça devenait quand même de plus en plus difficile de tolérer le scénar.
Les vaisseaux sont super classes, et les scènes de combat plutôt sympa. On est en plein dans les clichés et les trucs déjà vus un paquet de fois, mais ça marche quand même. C'est juste un poil dommage que les combats soient toujours à sens unique : l'attaquant ne subit aucune perte et balaye les défenseurs en un instant.
Y'a aussi de l'abus au niveau des personnages féminins. Sur les trois (tous les autres personnages, y compris les secondaires/figurants sont des hommes), deux portent des vêtements moulants (mention spéciale à la combinaison spatiale avec string intégré) et une à droit à une scène de douche qui n'a absolument aucun autre intérêt que le fan service.
_____________________________________________ Muscles, sang, sexe, intelligence... et carreaux.
The Ryan Initiative :
Surprenant, puis décevant sur la fin. La lettre d'intention était pas mal, faire revivre les films d'espionnage de la guerre froide. Pendant 2/3 du film, ça réussit pas mal. On est loin de la complexité scénaristique des vieux classiques d'espionnage, mais l'ambiance "Mur de Berlin-Kremlin" est là. Et puis ça s'emballe, l'action commence et prend le dessus sur le scénario. Tout à coup, des incohérences énormes apparaissent et viennent gâcher le plaisir. Dommage. Espérons qu'ils s'en sortiront mieux sur les suivants.
Espionnage : 3/6
The Dallas Buyers Club :
Le sida au Texas pendant les Années de Mort (85-95), les magouilles autour de la R&D des médocs une fois qu'on sait que ce n'est pas juste "une maladie de pédés", Matthew McConaughey et Jared Leto merveilleusement déprimants... Un excellent film, vraiment, mais une putain de grosse déprime.
5/6
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Si on veut me tuer, c'est que je suis encore vivant.
Lego La Grande Aventure : C'est trop bien.
La trame est convenue, mais l'histoire est sympathique, le ryhtme est très bien maitrisé, et c'est très drôle, et pas que pour les gamins. Ca faiblit un petit peu vers la fin, et il y a un "twist" dont ils auraient pu se passer, mais c'est heureusement pas trop mal traité, donc même si ça fait peur quand on le voit arriver, ça passe.
Je l'ai vu en 3D, mais c'est à peine si je m'en suis rendu compte. Elle est donc probablement dispensable, mais au moins elle n'impacte pas négativement le film. Je sais pas ce que vaut la VF, mais les voix en VO sont géniales, avec des grands noms qui sont super bons dans leur rôle.
_____________________________________________ Muscles, sang, sexe, intelligence... et carreaux.
Ah tiens, j'avais oublié.
I, Frankenstein
Je m'attendais à un énorme nanar, j'ai eu droit à un énorme navet.
C'est encore plus pourri qu'Underworld, qui était jusque là pour moi la plus grande purge beatlit.
1/6, et je suis gentil.
Robocop
Assez étonnant. Une mauvaise vision de Robocop, mais un film de SF potable. Ca se laisse regarder, mais ça ne surnage vraiment que grâce au niveau général pourri de la SF des années 2010. Quand même quelques bons points qui m'ont surpris : Michael Keaton en dirigeant d'Omnicorp version Richard Branson, le design finalement pas mal de Robocop, et surtout Samuel L Jackson en merveilleux présentateur de Fox News.
SF moderne : 3/6.
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Si on veut me tuer, c'est que je suis encore vivant.
@geno : Jack Ryan ? LE Jack Ryan, Celui de Tom Clancy ? Quel bouquin ?
Le seul bon humain est un humain mort. Et encore, généralement, il pue !
Celui là, oui. Il s'agit d'un reboot du personnage pour en faire une licence entre Mission Impossible et Jason Bourne. Je ne sais pas si le nouveau film est basé sur un bouquin. Dans ce 1er opus, on assiste à la genèse du personnage. Etudiant, soldat, analyste dormant de la CIA, puis agent de terrain.
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Si on veut me tuer, c'est que je suis encore vivant.
Alors cela couvre surement plusieurs bouquins. Dur de reprendre après Harrison Ford, Alec Baldwin, et j'en oublie surement !
Vu la longueur des Tom Clancy dans ma bibliothèque, ya de quoi faire un sacré nombre de film !
Le seul bon humain est un humain mort. Et encore, généralement, il pue !
T'exagère sur Albator Blade. En temps que Fan, je dois me porter en faux: La Scène de douche n'as aucun intérêt, même pour un fan!
Après, personnellement, le visuel aussi m'as déçu. Il est bien fait, mais c'est du Final Fantasy, du Starcraft 2, là ou une oeuvre d'animation mérite quand même d'avoir sa propre patte. C'est couillon.
Ceci dit, ça m'as bien fait marrer, un film ou le héro charismatique voit son équipe lui dire à 30mn de la fin "Mais en fait, tu fait que de la merde!"
Chez Aztechnology, nous sommes très à cheval sur l'éthique.
Nous faisons des sacrifices.
Oui, mais des sacrifices humains.
Le scénario de Jack Ryan Begins est une création originale. The Hunt for Red October, publié en 1984 et se déroulant la même année, est le premier roman de Tom Clancy avec le personnage de Jack Ryan. Il a publié ensuite Patriot Games en 1987, mais dont l'histoire se déroule en 1981, et qui constituait sa première aventure.
Il n'y a pas beaucoup de romans avec Jack Ryan qui soient "low-levels" : Red October, Patriot Games, Red Rabbit, The Cardinal of the Kremlin. Dans Clear and Present Danger ("Danger Immédiat", adapté avec Harrison Ford), il est déjà directeur adjoint par intérim. Dans The Sum of All Fears, il a été nommé définitivement directeur adjoint (le film avec Ben Affleck le met à un niveau subalterne). Et dans Debt of Honor, il devient même président des Etats-Unis (et la série continue !).
Only Lovers Left Alive
Le dernier de Jarmush m'a bien plu, sans que je puisse vraiment expliqué pourquoi. Bien sûr, c'est bien fait, bien joué, l'ambiance est très bonne. Mais surtout, ça ma parlé. A côté de moi, Jude s'est fait chier à mort. C'est du Jarmush, quoi, on est réceptif ou on l'est pas. ^_^
Dépression contemplative (avec des vampires) : 4/6
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Si on veut me tuer, c'est que je suis encore vivant.
Le vent se lève
Le dernier (encore) (hélas) film de Myasaki est une merveille comme il se doit. Mais une merveille bien différente que celles qui ont fait sa célébrité. C'est une biographie à demi fictive autour de l'ingénieur aéronautique qui inventa le F-0 japonnais dans l'entre deux guerre, dont Myaaki a enrichit la vie d'une romance tirée de la biographie d'un auteur célèbre à la même époque.
C'est visuellement magnifique, la qualité Ghibli est là, toujours au top. C'est super précis, ça fourmille de détails et les ambiances sont bien retranscrites. La bande son est aussi super (merci Joe Hisaichi), notament tout les sons d'avions, de tremblements de terres ou autres explosions qui sont assourdis est semble produits par des bouches humaines, donnant une intensité à la limite onirique à de nombreuses scènes magnifiques.
Car même s'il n'y a pas un brin de fantastique dans cette histoire, il y est beaucoup question de rêve ( "les avions sont des rêves maudits, dit un protagoniste onirique, de beaux rêves condamnés à la guerre") et ceux-ci donnent lieux aux meilleurs scènes du film à mon sens, où le génie qu'on connait de myazaki s'exprime. Il y a aussi la scène du tremblement de terre qui est l'une des séquence qui cinématographique qui m'a fait la plus forte impression (au ciné) depuis bien longtemps.
Enfin je suis toujours admiratifs des personnages de ces films, qu'on ne présente jamais en détails (sauf le personnage principal dans ce cas, ofc), mais qui viennent à l'écran avec tout un pannel d'expression, d'intonnations, un vocabulaires propres à chacun, bref tous sont crédibles, vivants et nous entraînent dans leurs histoires. Et puis c'est probablement le film le plus doux-amer de Myazaki et le plus ambigü aussi (que de chemin parcouru depuis le manichéisme écolo de Conan Fils du Futur).
Et bien sûr si vous aimez le vent et les avions vous allez vous régaler.
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Le chemin des mots
Ah oui, j'avais oublié d'en parler. J'ai également beaucoup apprécié. Mais c'est vrai que ça m'a rappelé autant Jiro Taniguchi que Miyazaki, et le décalage avec ce qu'il fait d'habitude en a rebuter pas mal apparemment.
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Si on veut me tuer, c'est que je suis encore vivant.
Oui, c'est assez habituel et compréhensible. Par exemple mon père s'est fait chier. Mais c'est juste qu'il aime pas les biographies, alors forcément...
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Le chemin des mots
Après midi ciné hier avec Sly. Je ne suis donc pas le seul à avoir voulu voir...
La Légende d'Hercule !
Le plus beau nanar boursouflé depuis des années. L'acteur principal a trop utilisé d'autobronzant et de Colgate, la réal est moche, mais MOCHE ! A en pleurer du sang. Tout le monde joue faux comme si leurs vies en dépendaient, les FX sont à chier, les dialogues sont pires, et le scénar, du grand art ! Un bon gloubi-boulga de tous les poncifs depuis Gladiator et Narnia. On s'est bien marrés. Un seul regret, qu'on n'ait pas pû enchaîner avec Pompéi...
Maintenant, j'attends de pieds fermes Hercule avec The Rock, parce que là, au moins... y aura The Rock.
Navet en jupettes : 1/6
Mais on s'est rattrapé pour la suite...
Closed Circuit
La bonne surprise de la journée. Un bon thriller espionnage/juridique, entre un épisode de Spooks/MI5 et un film de procès sous pression (genre l'affaire Pélican). Eric Bana, Rebecca Hall et tous les seconds rôles sont tip-top, le scénar met la pression, de même que la réal bien paranoïaque. Petit bémol, on est au courant du fond de l'affaire assez vite, j'aurai préféré un peu plus de flou. Mais c'est largement compensé par le désenchantement du film. Un thriller aussi pessimiste ne pouvait que me plaire. Ca m'a pas mal rappelé The Interpreter ou The International.
Avocats en eaux troubles : 4/6
Captain America : Winter Soldier
Passons vite fait sur le qualitatif, pour nous concentrer ensuite sur le débat, que dis-je, le schisme (!), qui opposera les râleurs à ceux qui s'en foutent. L'éternel combat autour des films de geeks, quoi.
Réal : Assez impersonnelle mais efficace et pêchue.
Acteurs : Corrects sans plus pour des rôles étriqués. Vous voulez voir du développement de personnages, allez voir Agents of Buffy... pardon, of SHIELD.
Histoire : Vraiment cool, j'aime bien où ça nous emmène et j'ai hâte de voir la suite. Mais y a des longueurs.
Action : Ca claque pas mal, mais c'est pas vraiment du superhéros. Ce qui nous amène au "problème".
Le truc qui a fait tiquer une bonne moitié des gens que j'ai pu entendre, c'est que ça aurait dû s'appeler Captain America : SHIELD Soldier. On sent bien la volonté de Marvel de différencier ses licences. Thor devient la licence comique, Avengers la licence "compromis qui plaît à tout le monde", et Captain America nous la joue barbouze. On a là un thriller d'action rempli d'espions, de traîtres, de magouilles et de vieux plans de la guerre froide. L'action illustre parfaitement la chose. Pas de grande séquence rocambolesque (à part la fin, quand même), pas de confrontations bibliques. Captain America contre Winter Soldier, ça donne ça :
Je sors un flingue et je te crève. Tu vires mon flingue ? Je sors un couteau et je te crève. Tu vires mon couteau ? Je sors un deuxième couteau et je te crève...
Dès que ça part en cahouète, c'est la Guerre. Les dommages collatéraux sont effroyables, y a pas de grande tirade, pas d'instants de doutes. Ils sont là pour se crever la gueule et ils la ferment. Personnellement, vous vous doutez que ça m'a plu. Le trailer me faisait penser aux comics Secret War ou Wolverine Enemy of the State, et c'est ce qu'on a eu. Si vous voulez voir du superhéros flamboyant qui sort des punchlines en plein combat et qui a la classe en permanence, passez votre chemin. Si vous vous en tapez et que vous avez pas envie d'avoir des licences avec toutes le même ton et la même ambiance, allez y, il est vraiment cool.
Superhéros en uniformes moulants : 4/6 (parce que quand même c'est vraiment pas mal fait)
Barbouzes en uniformes moulants : 5/6
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Si on veut me tuer, c'est que je suis encore vivant.
Three Days to Kill :
De la production Besson de qualité. Plus léger que Taken, moins grand guignol que From Paris With Love, ça se regarde gentiment. Les scènes d'action sont bien troussées, les gags font sourire, et Kevin Costner est franchement bon en barbouse dépassé par sa gamine ado. C'est complêtement oubliable, surtout à cause des nombreux stéréotypes déjà vus, mais c'est bien fait.
Papa d'action : 3/6
Monuments Men :
C'est clairement un hommage aux comédies de guerre américaines. Pensez "De l'or pour les braves" en moins anar. On s'amuse, on sourit, on profite d'un bon moment avec de bons acteurs qui se font plaisir dans un film bien fait... Mais c'est à peu prêt tout. Les scènes s'enchaînent sans rien pour les lier, aucun moment ne reste vraiment en mémoire. C'est agréable mais ça manque de quelque chose.
De l'Art pour les braves : 4/6
American Bluff :
Honte sur moi. Dire que j'aurai pu le voir il y a plus d'un mois, et que je ne vous en parle que maintenant qu'il va quitter ses dernières salles. On pourrait vous dire de le voir pour son scénar rythmé, sa réal funky ou sa reconstituion tragi-comique des 70's. Mais il faut surtout le voir pour ses acteurs. Ca fait trèèès longtemps qu'on avait pas vu un "film à performances" comme ça. Ils sont TOUS au sommet de leur art, et c'est un plaisir énorme de les suivre, que ce soit dans les scènes bouffones ou dramatiques. Les autres avaient déjà une solide réputation, mais moi qui ignorait Jennifer Lawrence, ça va changer. Si vous ne pouvez voir qu'un film en ce moment, c'est celui-là. Si vous attendez les dvds, achetez le sans hésiter.
Drame funky : 5/6
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Si on veut me tuer, c'est que je suis encore vivant.
Je viens de voir X men day of future past, et j'ai franchement bien aimé!
La digne suite de X men beginning, donc bon, bien réalisé, bien joué, et une histoire sympas. Ca reprend sans doute pas mal de "Dieu créé, l'homme détruit" (qu'il faudrait que je lise un jour), mais du coup, l'histoire est vraiment sympas, et les ajouts divers et varié venant d'autre pèriode des X-mens (le futur, entre autre - et j'ai du en rater - ) sont très bien amené!
Bref, j'ai vraiment passé un bon moment!
"Sérieux, tu devient lourd avec ton canon d'assaut là, je te répète que c'est cool, ça gère !!! Et puis de toute façon, c'est pas le moment!!"
Aaaahahahahahhahahhahahhahahahhahha
"Avec mon mépris, vous aurez mon poing dans la gueule qui que vous soyez, quelques muscles que vous puissiez transporter, quelle que soit la connerie, en même temps que les muscles, que vous puissiez transporter." Claude François.
Oh OUIIIIIII !!!!!!!!!!
Le seul bon humain est un humain mort. Et encore, généralement, il pue !
Et je réplique!
...
Awake and alive.
L.
J'ai même pas osé cliquer sur les vidéos ...
La simple vue de Blanche neige nippone en sabre laser m'a suffit !
Le seul bon humain est un humain mort. Et encore, généralement, il pue !
Playtime: J'ai profité de son retour dans les salles pour aller le voir. Le début est bien, y'a une grosse longueur au milieu, et ça repart pour la fin, même si c'est globalement un peu long. Mais c'est du Tati : on sourit souvent, on rigole parfois, et y'a même quelques fois où on éclate de rire et on ressort en voyant le monde différemment.
Par contre, ce qui m'a frappé c'est qu'en fait, c'est thématiquement du pré-cyberpunk à la française : la société déshumanisante et la manière dont l'humain peut ressurgir dedans, avec une petite dose de chaos et d'anarchisme.
_____________________________________________ Muscles, sang, sexe, intelligence... et carreaux.
The Raid 2: The Raid 1 c'était 5 minutes d'histoire et le reste de gens qui se foutent sur la gueule (plus exactement 20 minutes de "on trouve un prétexte pour retirer les flingues" et le reste de gens qui se foutent sur la gueule). Dans The Raid 2, il y a beaucoup plus d'histoire. On se retrouve en fait avec un film de mafia asiatique classique, et c'est un peu dommage parce que niveau scénaristique, ça casse pas trois briques à un canard.
Les scènes de combat par contre, sont toujours du grand art. La preuve qu'on peut avoir une caméra à l'épaule mais de l'action lisible, qu'on peut avoir du (très très) sale très bien corégraphié..
Bref, les scènes de combat sont toujours aussi chouettes (ou presque, mais faudrait que je revoie le premier pour comparer) mais elles sont maintenant beaucoup plus éparpillées, et un peu plus à sens unique aussi. Dans le premier, ça se battait pour survivre, dans celui-là, hormi les combats de la fin, c'est plutôt un camp qui massacre l'autre (avec grosse insistance sur les moyens violents de tuer son prochain).
Mais bon, je peux pas non plus en dire du mal : un film où la moitié de la salle applaudit à la fin d'un combat puis rigole parce qu'une des victimes a une batte de base-ball incrusté dans le visage, ça n'est pas n'importe quel film. Mais il n'empêche que par rapport au premier, j'ai été déçu.
_____________________________________________ Muscles, sang, sexe, intelligence... et carreaux.
Moi je serai un peu plus méchant. Déjà le pitch c'était que ça commençait deux heures plus tard puis en taule. Oui, bon ben n'espérez pas un film en taule ou une suite directe. Ensuite comme dit Blade c'est deux tiers de parlote et d'histoire mal menée pour un tier de baston. Et j'insiste sur le mal mené. Parce que dans l'action du film était simple mais efficace et se tenait. Et derrière y avait une triple cross qui fait plaisir. Classique, effeicace, brutal comme le reste du film. Unité de temps et de lieu pour pas relacher la tension, etc. Là ça part dans tout les sens avec des dialogues qui veulent être classe entre des mecs qui se la pète mais en fait non. Il y a trouze mille lieux différents, plein d'ellipses temporelles et on passe de l'un à l'autre sans transition ce qui te pousse régulièrement à te dire "attends, on est où, là ? Qu'est-ce qu'il fout là, lui ?".
Ensuite les bastons. Là aussi, mêem si ça reste du dessus du panier, ça tiens à mon goût pas la comparaison avec le premier. Trop à sens unique et surtout encore plus trop surhumaine. Et trop stylisées. Dans le 1 c'est des flics et des gangsters, dont certains sont des experts, d'autres des pro et d'autres des gars qui chargent en hurlant avec une arme blanche. Et un des perso (le taré) à un style bien particulier. Là tout le monde à son petit gimmick de combat, son arme bizarre pour ceux qui comptes et en série pour les nonames. Blade souligne fort justement l'unilatéralité d'une bonne partie des bastons. Bref oui les bastons sont sympa, parfois drôles, mais non c'est pas ça que j'ai aimé dans le1 et que j'espérais dans le 2.
Niamor, mon colloc, résumait ainsi la chose : "le 1 était super parce qu'il n'y avait que l'essentiel au film d'action, ils avaient réussit à enlever tout les chichi scénaristiques ou visuels inutiles pour laisser de l'aciton pure". Du coup ils avaient du rabe et ils ont tout mit dans le 2".
Bref c'est un film d'action plutôt naze avec de bonnes scènes de baston. C'est un deux quoi.
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Le chemin des mots
Veronica Mars : le film. Oui je sais c'était y a quelques mois mais je viens tout juste de le voir. Et ben il est bien, c'est un très bon moment. Je le qualifierai pas non plus de super. C'est un peu comme un triple épisode de Veronica Mars, 9 ans plus tard. Les répliques, l'intrigue sale, les perso attachants, le fan service .... Mais j'espérais, en bon fan insatisfaisable un quelque chose en "plus", après 9 ans loin de Neptune's High. Je le recommande quand même chaudement à qui a aimé la série ;-)
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Le chemin des mots
The Raid 2:
Blade, tu es beaucoup trop sympa. C'était chiant à mourir, ça faisait bien longtemp que je n'avais pas eu envie de sortir d'une salle de cinéma pendant le film.
Les Gardiens de la Galaxie:
Pew pew pew - I am Groot - Pew pew pew - punchline - pew pew pew - badass - I am Groot. C'était trop bien!
La Planète des singes l'affrontement
C'était affreux affreux affreux. Sachant que mon empathie en ce moment est proche du super pouvoir, que j'ai lu le bouquin, j'ai vu le film avec Charlton Heston, j'ai (malheureusement) vu celui de Tim Burton, je SAVAIS que ça ne pouvait pas bien se passer. Résultat j'ai passé tout le film à être super tendue et à pleurer. Mais sinon il est bien hein.
Awake and alive.
L.
Gardian of the Galaxy
Allez le voir. Il est trop bien. Jude fait une mauvaise pub et elle a aimé. J'ai pas rit de bon coeur au ciné depuis bien longtemps et j'envisage de retourner le voir. Ca aussi ça faisait longtemps. Le meilleur film grand public / action / aventure depuis... je sais plus.
ALLEZ.LE.VOIR.
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Le chemin des mots
Même pas vrai. Je vois pas pourquoi tu dis ça. Meilleure critique ciné que j'aie faite depuis des années moi je trouve.
Awake and alive.
L.
Les Gardiens de la Galaxie
Pareil que Jude. C'est un bon film d'action, le scenar est totalement improbable mais tout va tellement vite et les personnages sont tellement droles / badass qu'on s'en fiche en fait (mention speciale pour le raton laveur mutant cybernetique artilleur pilote ingenieur stratege, parce qu'il a un super jeu d'acteur !).
C'est une claque visuelle.
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"Entre le fort et le faible, entre le riche et le pauvre, c'est la liberté qui opprime et la loi qui affranchit" Henri Lacordaire (1848 - 2ème Revolution Française)
Les Gardiens de la Galaxie
Y'as des mercos, alors c'est cool. Mais faut reconnaitre que niveau scénar, faut imaginer un MJ concilliant qui as accepté des joueurs avec des BG absolument improbables et qui les laisse récupérer en cinématique toute pièce d'équipement que l'intrigue aurait du leur faire perdre et que ça les embêtes de plus avoir (genre un vaisseau spatial). Avec tout ce que ça implique de jeu solo, de sauvetage de PJ improbable, de PNJ chair à canon, d'intégration de nouveaux perso en cours de partie etc, Mais comme y'as de la pizza, que les joueurs sont là pour s'amuser et que le système tourne bien, on passe une bonne soirée!
Chez Aztechnology, nous sommes très à cheval sur l'éthique.
Nous faisons des sacrifices.
Oui, mais des sacrifices humains.
c'est aussi crédible qu'un 7th Sea débridé et c'est ça qu'est bon !!!
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Le chemin des mots
Expandables 3: La scène de début est bien, pas exceptionnelle mais sympathique. Après on a une bonne heure (je dirais, j'ai pas chronométré) de vide avant une scène de fin monumentale quoique pas toujours lisible. C'est quoi cette manie de vouloir mettre de l'histoire et du développement des personnages dans des films qui n'en ont pas besoin ?
Au final, ça abandonne presque totalement les codes des actionneers des années 90. Sur beaucoup de points (histoire, réal, images), on est plus proches d'un thriller/action récent. Vu le thème du film, c'est probablement un parti pris, mais c'est un peu dommage quand même. Et Jet Li est encore moins présent que dans le 2 et il ne tabasse personne au corps à corps :(
Bref, encore un film qui sera mieux une fois réduit à 30 minutes.
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Ninja Turtles: J'y suis allé sans trop savoir à quoi m'attendre. L'intro est très très bien foutue, puis elle enchaine sur un actioneer américain contemporain des plus classiques (on a l'impression parfois que le script a été fait par écriture automatique), mais néanmoins efficace. Ca se laisse bien regarder, ça évite les erreurs de la plupart des films du genre (la profusion de scènes inutiles), mais ça n'ose pas non plus se laisser aller aux moments de bravoure et de surenchère qui font le petit charme des autres blockbusters.
La mise à jour est pas mal, Shredder est plutôt réussi (et pour le coup un vrai guerrier redoutable), mais ça manque de violet et de gros bonhomme en slip avec un cerveau dans un aquarium à la place du ventre. Mais à la place on droit a un méchant qui a parfois des airs de Christopher Walken, ce qui est quand même pas mal.
Bonne surprise par contre : April ne se fait pas kidnapper, elle a un rôle de femme forte, le mec qui l'accompagne (rajouté là pour pouvoir caser l'histoire d'amour) a un rôle de personnage de soutien qui, il y a encore une dizaine d'années, aurait été celui de l'ancien petit ami looser qui se fait remplacer par le vrai héros testostéroné, ou celui de la copine du héros.
_____________________________________________ Muscles, sang, sexe, intelligence... et carreaux.
Gone girl : Vu sur proposition de potes, je savais à peine de quoi ça parlait, j'ai été très agréablement surpris. Des twists en veux-tu-en-voilà, qui rendent le film un peu long par contre, mais pour une fin franchement inattendue. Une bonne enquête policière qui pourrait faire une inspiration sympa pour un scénario SR.
Le jeu d'acteur est top, il manque juste une explication du pourquoi (quoique certaines personnes n'ont pas besoin de mobile pour être des psychopathes). Bref, un bon film !
Expandables 3 :
Aurait mieux fait de s'appeler "Barney Ross and the Expendables". Les persos originaux sont relegués au rang de side-kicks :
Statham, le lanceur de couteaux, tire à l'arme automatique
Li, l'expert en arts martiaux, tire à l'arme automatique
Lundgren, tireur d'élite et instable psychologiquement, tire à l'arme automatique et est très calme. A un moment, il a un lance-grenade dans les mains mais ne s'en sert pas.
Crews, spécialiste en armes lourdes, est dans le coma. Il est "remplacé" par Ortiz, soit-disant expert en armes, qui utilise un shotgun de base
Couture, expert en destruction/merco ork, tire à l'arme automatique et ne fait pas de blague sur ses oreilles.
Schwarzenegger tire à l'arme automatique
Il sont rejoint par Snipes, médecin qui ne soigne jamais personne et aussi lanceur de couteaux qui tire à l'arme automatique. Par contre, il (enfin sa doublure) fait du parkour.
Puis viennent les personnages petits jeunes avec des spécialités loufoques qui seront surexploitées pendant le reste du film :
Lutz est un ancien marines indiscipliné (mais qui suit quand même les ordres). Il (enfin sa doublure) pilote une moto.
Rousey fait du catch.
Powell hacke des trucs et fait de l'escalade. Il aime tellement l'escalade que dans la scène finale, il escaladera un conduit d'ascenceur pour aller sur le toît du batîment alors que tout le reste de l'équipe essaye de se descendre par les escaliers.
Banderas a 6 en edge et passe son temps à raconter des choses ineptes. Il (enfin sa doublure) fait aussi du parkour.
La bonne nouvelle, c'est que Stallone va un petit peu délaisser The Expendables pour se concentrer sur un autre projet.
"Avec mon mépris, vous aurez mon poing dans la gueule qui que vous soyez, quelques muscles que vous puissiez transporter, quelle que soit la connerie, en même temps que les muscles, que vous puissiez transporter." Claude François.
Un an c'est long!
Awake and alive.
L.
Pas de retours sur le hobbit? Je regarde les critiques sur le net, mais personne n'as l'air de relever ce qui m'as géner. Du coup je me sens seuuuuuul!
Et en plus, pas moyen de grater Willow quelque part.
Chez Aztechnology, nous sommes très à cheval sur l'éthique.
Nous faisons des sacrifices.
Oui, mais des sacrifices humains.
Tolkien doit faire la toupie dans sa tombe...
Peter Jackson est un sauvage.
Sinon, c'est un peplum sympa.
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"Entre le fort et le faible, entre le riche et le pauvre, c'est la liberté qui opprime et la loi qui affranchit" Henri Lacordaire (1848 - 2ème Revolution Française)
Boarf, j'était plus embété par des défaux de réalisation et des partit pris que de fidélitée à l'oeuvre... (même si les moments sympa que j'attendait sont jamais venu)
Chez Aztechnology, nous sommes très à cheval sur l'éthique.
Nous faisons des sacrifices.
Oui, mais des sacrifices humains.
Ca va être dur pour Diesel qui va devoir racheter des figurines:
https://www.youtube.com/watch?annotation_id=annotation_118858221&feature...
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